Spiruline et sport
A. La spiruline, le nutriment du sportif par excellence
Plusieurs composants constitutifs de la spiruline concourent à en faire LE complément nutritionnel d’exception en physiologie sportive. Sa teneur en :
- Fer particulièrement bio disponible, donc directement absorbable.
- Vitamine B9, ou acide folique, qui participe à la fixation du fer et l’anabolisme musculaire
- Acides Aminés branchés – les BCAA’S – Leucine, Isoleucine, Valine, particulièrement recherchés pour la prise de masse musculaire.
- Vitamines B1, B6 et B12, dont le rôle est essentiel tant pour la préparation que pour la récupération à l’effort.
- Vitamines liposolubles D,E,A et surtout provitamine A, le bêta-carotène qui élimine tout risque de surdosage.
- Oligoéléments, Sélénium, Cuivre, Magnésium, Manganèse, etc.
- Enzymes et coenzymes, facilitateurs des différents métabolismes, dont la fameuse Super Oxyde trans Dismutase (SOD), puissant antioxydant.
- Phycocyanine, fabuleux pigment dont on vient en outre de découvrir récemment de puissantes propriétés anti-cos 2, donc anti-inflammatoire naturel.
B. La spiruline et la récupération physiologique
La teneur de la spiruline est exceptionnelle en :
- Vitamines : Toutes les vitamines du groupe B sont particulièrement utiles pour la restitution ad integrum des structures musculo-tendineuse malmenées lors des efforts intenses et prolongés.
- Vitamine A, (et surtout provitamine A – le bêta-carotène – qui se transforme en vitamine dans l’organisme grâce aux coenzymes également présentes dans la spiruline, en fonction des besoins spécifiques de l’organisme et élimine ainsi tout risque de surdosage), vitamine D et vitamine E dont les rôles dans la régulation du calcium et la lutte contre la souffrance cellulaire ne sont plus à démontrer.
- Vitamine B9 (ou acide folique) qui participe très activement à la fixation du fer dans l’organisme, un des facteurs limitant de l’effort en cas de déficit ou de défaut d’absorption.
- Oligo et macro éléments minéraux.
- Magnésium, Manganèse, Cuivre, Zinc, Sélénium.
- Acides gras Essentiels, dont l’Acide DihomoGamma Linolénique, que l’on ne trouve que dans le lait maternel et la spiruline, dont le rôle unique comme régulateur cellulaire a justifié un Prix Nobel de Médecine en 1982.
- La teneur exceptionnelle en SOD de la spiruline permet une reconstitution cellulaire et une optimisation énergétique uniques.
- Phycocyanine.
C. La spiruline et la préparation à l’effort intense et/ou prolongé
Outre les différents facteurs nutritionnels nombreux (qualitativement et quantitativement) développés ci-dessus – et qu’il est superflu de reprendre – qui concourent à l’optimisation et à l’harmonisation des processus physiologiques complexes lors de l’exercice physique, il y a des mécanismes intimes qui permettent à l’organisme sportif de se préparer spécifiquement à des efforts intenses et prolongés, puis d’enchaîner les entraînements et les compétitions en limitant les risques de surcharge et de « casse ».
Parmi les nombreuses études diligentées en physiologie sportive, existe celle menée par l’Université de Memphis, Tennessee, (mars 2001) prouvant la diminution très significative de la douleur musculaire lors des exercices physiques intensifs grâce à la présence de dérivés de phycocyanine contenus dans la spiruline.
D. La spiruline et la prise de muscle
La complémentation protéinée chez les athlètes en phase de renfort musculaire, singulièrement en acides aminés dits « Branchés » est importante. Les acides aminés branchés que l’on retrouve en forte proportion dans la spiruline, avec de surcroît le matériel vitaminique, enzymatique et en oligoéléments et minéraux qui participe conjointement à l’anabolisme musculaire et la réduction du pannicule adipeux.